Comme les personnes âgées, les détenus ont un accès limité aux soins du fait de leurs rares possibilités de déplacements. Cette population apparaît donc – tout comme les résidents en EHPAD – une cible privilégiée du développement de la télémédecine…
Les besoins de santé des détenus sont particulièrement importants du fait de la prévalence de pathologies psychiatriques (55 % de la population carcérale), dermatologiques (60 %) ou addictives (80 %)…
Source: medscape.com